Ah mais j'ai pas dit le contraire, je précise simplement qu'on n'en est pas certain, de ce Big Bang

Ben d'une manière générale on est pas certain de grand chose dans la science quand même. Toute théorie devrait se terminer par "jusqu'à preuve du contraire".

Certes, mais on tombe rapidement dans une sorte de relativisme absolu. Ça me fait penser à ces américains qui militent pour qu'on précise que la théorie de l'évolution enseignée à l'école, n'est qu'une théorie parmi d'autres, notamment l'intervention divine, tout ça…

On ne remet pas en cause la gravitation ou la tectonique des plaques. Sur la gravitation c'est intéressant car bien qu'exacte, elle était incomplète pour expliquer la révolution des corps et on s'en est rendu compte à cause de la précession de Mercure. En déformant l'espace-temps, la relativité générale à expliqué le pourquoi du comment.
Encore aujourd'hui tout n'est pas réglé, notamment en vue d'une union de la gravitation avec les 3 autres forces fondamentales[1] que sont la force nucléaire forte, la faible et l'électromagnétisme (les deux dernières ont déjà été réunies au sein de la théorie dite électro-faible). Surtout que ces 3 forces transmettent leurs effets par l'intermédiaire de vecteurs (le photon pour l'électromagnétisme) et qu'il devrait en être de même pour la gravitation via des hypothétiques gravitons/gravitrons.

Bref, tout ça pour dire qu'il faut dissocier le principe de la théorie, et que pour moi, aux vues des connaissances actuelles, si l'on peut discuter des paramètres (inflation, pas inflation, et cætera), le principe du Big Bang est acquis.

Et voilà, j'ai encore écrit un petit pavé. 

1.	qui expliquent entre autre pourquoi les étoiles brillent et créent des neutrinos qui nous traversent par milliards chaque seconde.

Lamarck par exemple dont les théories sont au moins aussi pertinentes que celles de Darwin.

En Biologie, géologie, physique, les paradigmes sont pour ainsi dire unique à chaque discipline et peu de discussion de ce point de vue n'émerge.

Je ne sais pas si les mathématiques sont à classer dans les sciences dures ou douces, (ou tout simplement dans les sciences), mais voici un bel exemple de contradiction à la pensée "unique": à des moments différents, en remettant en cause de façon purement théorique un postulat d'Euclide, Rieman d'un côté et Lobachevski d'un autre ont construit des géométries "différentes", dites non euclidiennes, qui s'appliquent l'une à l'échelle de l'univers, l'autre à l'échelle de la mécanique quantique. Bel exemple d'ailleurs dans l'histoire des mathématiques où la théorie précède l'observation!! 

Ah, ça me rassure, je suis pas tout seul 

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