G.I. Joe - Le réveil du Cobra.

De l'action, de l'action, de l'action et encore de l'action !!!! Le scénario (si je puis dire), doit tenir sur un ticket de métro (en gros, c'est les bons contre les méchants  ), mais on s'en fout !  Du moins, c'était mon cas. Je savais à quoi m'attendre et j'en ai eu pour mon argent (5 euros ) ! Du coup, pas de déception. Pour ce genre de film pop-corn (mais sans le pop-corn, car je déteste les gens bouffant se genre de truc durant les séances), je ne demande que du divertissement pur et dur et d'en avoir plein les yeux pendant 2 heures (ce que j'ai eu). D'ailleurs, je n'ai pas vu le temps passer. Et puis pour ne rien gâter, avoir Sienna Miller (dans sa tenue de cuir...hum...  ) et Rachel Nichols sous les yeux, c'est autant de plaisir en plus.  Encore une fois, je n'ai pas été déçu par un film de Stephen Sommers (ce n'est pas du Cameron, mais c'est jouissif quand même  ) et j'attends le 2 et le 3 avec impatience. 

Les DA américains de cette époque, ne m'intéressait pas du tout, le seul dont j'ai un bon souvenir, c'est le Sourire du Dragon. Surtout pour son générique en fait. Un peu comme pour Galaxy Rangers. Ah et il y avait aussi Cosmocats. J'attends d'ailleurs toujours de voir le film. En fait, c'est surtout les DA style G.I Joe ou son pendant franco-américain dont je me souviens plus du titre qui ne m'intéresse pas. Tout comme les DA de robot style Tranformers ou du même style. Après, une adaptation live, n'a plus grand-chose à voir avec les DA. Heureusement d'ailleurs, parce que si les effets spéciaux était de la même qualité d'animation que pour les séries... Enfin, quand on a le temps de les admirer, parce que quand c'est Michael Bay qui réalise, ce n'est pas gagné. 

Au passage, j'ai appris que G.I Joe, n'était pas uniquement une série de figurine, comme je l'ai toujours cru, mais aussi et surtout, un comic datant de 1942.

Non, pour moi, les années 80, c'est avant tout les séries japonaises. Avec des histoires un poil plus évolué. Mais au cinéma, je m'en bat un peu, des histoires plus évoluées. Je ne vais pas au cinéma pour réfléchir (des millions de fois que je le répète), mais pour me détendre, oublié un peu ce monde de merde dans lequel on vit et accessoirement être un peu au frais dans une salle climatisée. Ce qui me procure un peu de répit et m'évite d'avoir à crever de chaleur (surtout en ce moment avec cette putain de canicule), dans mon appart. D'ailleurs, si le ciné était moins cher, en ce moment, j'y passerais mes journées. Même si pour ça, il faudrait que je me coltine des Harry Potter à la chaîne...c'est dire !


Et puis de toute façon, je ne suis pas blond, alors je n'étais pas traumatisé par G.I Joe quand j'étais jeune. Les conneries du Club Do ou n'importe quelle série d'AB, style Premier Baiser (c'était nous ,) ça oui, c'était traumatisant. Mais bon, c'est moins pire que les conneries actuelles de la télé réalité. Là on va vraiment avoir une génération bonne pour l'asile.


En tout cas, je vais voir si j'apprécie autant le prochain Tarantino. Je dois dire que ce n'est pas gagné. J'ai plus confiance quand je me déplace pour voir un film de Stephen Sommers, plutôt que lorsque je me déplace pour voir un Tarantino. C'est limite son avant-dernier film...qui m'a traumatisé. Je n'irai pas jusqu'à dire chiant comme la mort, mais loin (très loin même), de m'avoir satisfait. Aaaah, vivement le prochain James "je suis le roi du monde" Cameron : Avatar !!!! Dans 2 jours, enfin la Bande-annonce !

GI JOE = Nanar fun avec bonnasses deluxe, biscottos en craft, gadgets useless et FX albanais (la neige, la glace mouahahaha !)

Inglorious Basterds = OMG ! OMFG ! Quentin is back ! Le meilleur film que j'ai pu voir cette année !
C'est long mais dieu que c'est bon ! La BA ne reflète pas du tout le film. Beaucoup de scènes "fixes" entre un ou plusieurs personnages à chaque chapitre où les tensions montent et descendent. Un cadrage au poil et une réalisation excellente permettent de rester scotcher alors qu'il peut ne rien se passer pendant un paquet de temps ! Le premier chapitre est long avec "ça passe" puis "ça casse" puis "ça repasse" etc sans oublier les clins d'oeil au cinéma de Leone.... Le découpage est quasi-identique d'un chapitre à l'autre et on ne trouve pas du tout matière à consulter sa montre, bailler ou se dire "bon, quand c'est que le nazi il se fait tuer ?". N'est pas QT qui veut ! J'ai redécouvert le Brad Pitt des grands jours : ses mimiques, son accent italien, ses speeches, ses chefs-d'oeuvres... ! Mais la palme revient à Christoph Waltz, exceptionnel dans son rôle de nazi psychopathe et presque charmeur, une personnalité folle à lier comme seul Tarentino sait les créer. On sent que c'est un type qui bosse davantage sur les planches que derrière une caméra. Quelle prestation ! Il nous fournit une sacrée palette d'expressions dans des contextes parfois ahurissants (l'alpinisme, le lait) ! The best !

FONCEZ LE VOIR C'T'UN ORDRE !

D's©

Il paraît que Q.T. a mis 10 ans pour dialoguer la scène du début. D'ailleurs à ce propos, question dialogues, est-ce qu'il tient la route son nouveau film ?

Inglorious Basterds.

Il paraît que Q.T. a mis 10 ans pour dialoguer la scène du début. D'ailleurs à ce propos, question dialogues, est-ce qu'il tient la route son nouveau film ?

Ca bavasse bien, généralement des non-dits ou mieux des bagatelles. Rien de soporifique, curieusement !

D's©

Ca m'intéresse assez, comme film... Probablement à la télé, quand même. En HD