J'éprouve en ce petit matin de vendredi le besoin de pousser une gueulante.
Certes, c'est inutile.
Certes, ça ne sert à rien.
Mais bordel, ça fait du bien.
Je viens vous faire partager mon angoisse, face au drame qui nous menace: les mondiaux d'athlétisme à Osaka.
Et tout le probleme est là: Osaka.
On va bouffer, et on bouffe déjà, du commentateur sportif bidon ou du journaliste inculte qui nous donnent du "ozaka" par çi, du "ozaka" par là, et ça, ça me met hors de moi.
C'est vrai quoi. Imaginez, vous habitez Auxerre. Et vous entendez les journaleux, véhiculant mine de rien et vaille que vaille leurs conceptions des termes, et tiens! Prends du "AuXXXXerre" dans les tympans.
Pareil pour BruXXXXXelles.
Entendez un auxerrois (là j'ai un doute), un Bruxellois, ils ne prononcent pas le "X", eux...
'Sont chez eux, ils savent, il suffit de les écouter, de tendre un peu l'oreille;
D'éviter de faire son gros parigot journaliste, qui sait tout et n'entend rien.
Donc, voilà. Tout le monde n'est pas supposé avoir appris le japonais, tout le monde ne peut pas être un tant soit peu familier de la culture, ou de la phonétique du bled, mais écoutez les japonais!
Vous entendez? Oui? Et vous comprenez rien? Même en anglais?????
Bon, ça, c'est normal.
Mais punaise, écoutez les sportifs sur place! Ce matin, sur Europe 1, donc, on entendait une journaliste pourrir nos chastes oreilles de ses "Ozaka de merde, et puis, interview:
là le (ou la) sportif(ve) parle bien d'Osaka, pas de souci.
Il est marrant de voir qu'un sportif ne fasse pas la faute qu'un super journaliste d'Europe 1 répète sans cesse.
Bon, bien sur, on parlera pas du "O" long de Oosaka, mais bon, merde, quoi.
Je demande pas la lune...
Respecter les gens, respecter un peu les cultures, c'est pas la mer à boire...
Certes, c'est inutile.
Certes, ça ne sert à rien.
Mais bordel, ça fait du bien.
Je viens vous faire partager mon angoisse, face au drame qui nous menace: les mondiaux d'athlétisme à Osaka.
Et tout le probleme est là: Osaka.
On va bouffer, et on bouffe déjà, du commentateur sportif bidon ou du journaliste inculte qui nous donnent du "ozaka" par çi, du "ozaka" par là, et ça, ça me met hors de moi.
C'est vrai quoi. Imaginez, vous habitez Auxerre. Et vous entendez les journaleux, véhiculant mine de rien et vaille que vaille leurs conceptions des termes, et tiens! Prends du "AuXXXXerre" dans les tympans.
Pareil pour BruXXXXXelles.
Entendez un auxerrois (là j'ai un doute), un Bruxellois, ils ne prononcent pas le "X", eux...
'Sont chez eux, ils savent, il suffit de les écouter, de tendre un peu l'oreille;
D'éviter de faire son gros parigot journaliste, qui sait tout et n'entend rien.
Donc, voilà. Tout le monde n'est pas supposé avoir appris le japonais, tout le monde ne peut pas être un tant soit peu familier de la culture, ou de la phonétique du bled, mais écoutez les japonais!
Vous entendez? Oui? Et vous comprenez rien? Même en anglais?????
Bon, ça, c'est normal.
Mais punaise, écoutez les sportifs sur place! Ce matin, sur Europe 1, donc, on entendait une journaliste pourrir nos chastes oreilles de ses "Ozaka de merde, et puis, interview:
là le (ou la) sportif(ve) parle bien d'Osaka, pas de souci.
Il est marrant de voir qu'un sportif ne fasse pas la faute qu'un super journaliste d'Europe 1 répète sans cesse.
Bon, bien sur, on parlera pas du "O" long de Oosaka, mais bon, merde, quoi.
Je demande pas la lune...
Respecter les gens, respecter un peu les cultures, c'est pas la mer à boire...